En match aller du dernier tour préliminaire du Mondial 2018, le Ecureuils ont battu cet après-midi au stade de l’amitié de Kouhounou , les étalons 2-1grâce à des réalisations de Sèssegnon sur pénalty et Bello, Nakoulma avait égalisé pour les visiteurs. Le Bénin gagne après un début de match difficile grâce à un grand Farnolle…
Les buts
45+2 : Frédéric Gounongbé tente de passer entre deux défenseurs burkinabés, il est déséquilibré. Penalty. Sèssegnon marque sans trembler. 1-0
48e : Nakoulma déborde à gauche, il revient sur son pied et arme une frappe avec rebond qui trompe Farnolle.1-1
84e : Bello est à la retombée d’une frappe d’une frappe de Suanon contrée, sa demi-volée fait mouche 2-1.
Gestede bléssé , Gounongbé décisif
Le 4-4-2 annoncé par Omar Tchomogo n’aura pas tenu un quart d’heure face aux burkinabés. Avec Kaboré à la baguette , les étalons entrent bien dans leur match et se montrent dangereux dès l’entame . Traoré se présente seul devant Farnolle qui sort déjà un arrêt décisif à la 14e minute, plutôt le portier havrais avait déjà repoussé un tir de Kaboré 7e minute. Le Bénin va passer à un milieu à trois, l’équipe défend un peu mieux mais n’arrive pas à faire le jeu. Rien ne va, Gestede sortira sur blessure à la 38e minute. Un mal pour un bien, son remplaçant Gounongbé provoque le pénalty qui permet aux Ecureuils de mener à la pause. Sèssegnon est passé par là. Le Burkina peut regretter de n’avoir pas concrétisé ses occasions.
Nakoulma répond, énorme Farnolle ! Bello sauveur
Au retour des vestiaires, les burkinabés sont toujours plus incisifs et égaliseront sur un exploit personnel de Nakoulma. L’attaquant qui marquait ainsi son troisième but contre les Ecureuils après le doublé de Mai 2012.
Les entrées de Dossou et Suanon changent le jeu offensif béninois, plus créatif et percutant sur les flancs notamment. Les burkinabès baissent du pied et le match va s’équilibrer. Dossou est intenable sur son coté, il met la défense burkinabè à mal. Sèssegnon n’est pas loin de signer le doublé sur coup franc (67e minute)
Derrière Farnolle sort deux parades de classes sur un coup franc lointain de Bancé (57e minute) et une frappe de Nakoulma (87e minute).
Le salut arrivera par Bello, qui marque d’une frappe sèche des vingt mètres. Lui aussi avait marqué lors du match amical de mai 2012 et c’était le but 2-1. Sauf que cette fois ce sera décisif.
Suanon va même toucher le poteau dans les arrêts de jeu. Le Bénin fini bien un match qu’il avait mal débuté et peut savourer sa victoire mais doit montrer un autre visage mardi prochain lors de la manche retour à Ouaga.
Géraud Viwami
Bénin
Farnolle – Barazé , Salamon , Adénon , Kiki- Koukou , Bello , Sèssegnon © – Poté (Dossou 55e ) , Djigla (Suanon 75e ) , Gestede (Gounongbé 38e)
Coach : Omar Tchomogo
Burkina Faso
Diakité- Dayo, Mohamed, B.Koné Yago, – D. Koné, Kaboré © (Adama 50e) , B. Traoré , Nakoulma- Bance , Pitroipa.
Coach : Gernot Rohr
qe omar t revoir sa copie sutout de maintenir les onz qui ont finir le match pour le retour a ouaga sil ve continuer la course.gounougbé et dossou mieux qe yesterd et poté.alors veuillez o grain
…..vive les ecureuils viv le foot viv le benin
Omar cool!Accez d’effort au milieu d terrain é travail à la defence.Ke Dieu vous pr le match retour.<>
Que Omar maintienne l’équipe qui a fini le match au match retour merci. Vive les écureuils et félicitation
Omar na qu a recondu l equipe qui a fini le match
J’ai découvert un bon joueur ( milieu très technique) qui joue à Mulhouse et qui se nomme Codjia. Ce nom me semble Beninois. J’apporte cette information pour que les lecteurs puissent transmettent ce message au dirigeant du foot Beninois. Il joue à l’heure où j’écris un match de coupe de France au stade de Mulhouse ou son équipe mène 2:0
Pour ma part, je demanderais aux joueurs évoluant à l’extérieur qui brillent en club et n’arrivent pas à confirmer leurs talents au pays de beaucoup prier une fois qu’ils sont convoqués pour des compétitions au niveau national. S’il y en a parmi eux qui ne savent pas prier, qu’ils demandent l’aide des hommes de Dieu.
Je demanderais également aux supporters qui vocifèrent « faut pas que Poté marque, faut pas que Poté marque » sous prétexte fallacieux que lorsque celui ci marque, plus personne ne marque, que ce mythe n’est pas fondé et qu’il faille qu’ils arrêtent.
vive les Écureuils, vive le Bénin, la victoire est à nous.