Bénin – Côte d’Ivoire J-10, sale temps autour des Ecureuils

Les Ecureuils du Bénin seront-ils en mesure de transcender l'environnement actuel très hostile?

 

Quand une maison est divisée, c’est les enfants qui en souffrent…Cees Ecureuils-là peuvent-ils tranquillement, sereinement préparer un match de ce niveau-là ? Avec un staff technique qui n’en est pas vraiment un…sans coach titulaire et entraîneur des gardiens…Avec un environnement électrique dû à la crise.

Que faut-il espérer? Un sursaut d’orgueil, une envie de gagner? Le mercato qui s’ouvre quelques jours après le match du 5 juin reste une motivation pour quelques Ecureuils en quête de point de chute. Pour les autres, moins huppés, c’est un grand match. Mais une préparation inexistante et une prise en compte des aspects psychologiques dans le coaching subjectif restent deux handicaps.

Un miracle reste possible, disent les plus fervents supporters. Mais au-delà des clans, reconnaissons que ce match ne se présente pas sous de bons auspices pour les Ecureuils…face à la salection ivoirienne qui effectue une première sortie officielle sous l’ère Ouattara. Le symbole politique est fort du côté des Eléphants, pendant que dans la maison Ecureuils, on parle de non respect à l’Autorité de la part de la Fédération. Le président Anjorin ayant décidé de ne pas transmettre les documents d’une asemblée générale plus que contestée.

C’est un sale temps qu’il fait en ce début juin  au Bénin…une saison des pluies qui coincide bien avec la division de la famille du football.

La  et la grisaille qui la précède n’ont jamais fait bon ménage avec le jaune flambant et ensoleillé des Ecureuils. Attention à ne pas subir le déluge sface aux Eléphants. Plus que 10 jours.

Et vous qu’en pensez-vous ?

Aubay

Consultant

3 réflexions sur “Bénin – Côte d’Ivoire J-10, sale temps autour des Ecureuils

  • 26 mai 2011 à 8 h 48 min
    Permalien

    Dans un tel climat, on peut objectivement rien espérer.
    -Un championnat national arrêté depuis des mois,
    -Un entraîneur national toujours payé mais sans matière grise,
    -Un adjoint incompétent toujours accopiné,
    -Des joueurs expatriés convoqués, les uns peu reluisants et les autres en décadence,
    -Un grand nombre de supporters mécontents vis à vis de la Fédération,
    -Un environnement économique morose,
    -Un climat politique à peine apaisé,
    Voilà la situation dans laquelle nous vivons et dans laquelle Anjorin et les siens se complaisent à nous ploger davantage.
    Mais une fois encore, je reste convaincu que l’heure de la libération sonnera bientôt.

    Papa Yan

    Répondre
  • 26 mai 2011 à 16 h 14 min
    Permalien

    C’est un audit du football que tu commences à dresser!

    Répondre
  • 26 mai 2011 à 21 h 21 min
    Permalien

    Que valent les ecureuils devant les elephants en temps normal?
    J’ai envie de reprendre ta derniere phrase. Attention au deluge face à la bande de DD sous l’ere Ouattara !

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.