Le plus grand adversaire au Bénin, c’est le temps, les lourdeurs administratives et les crocs-en-jambes. 10 stages demandés, un seul retenu, le dernier. On le sait, les autorités béninoises n’ont pas encore reçu les cours sur la préparation des équipes de haut niveau. et Donc, depuis un an qu’il propose stages sur stages, Gaspoz a dû comprendre que là où il était venu, il faut marcher sur la tête.
Pas sûr qu’il le fasse. Ce stage bloqué jusqu’au match semble une formule pour rattrapper le retard. Et le 25 juillet, ils seront nombreux, les béninois qui espéèreront l’emporter face au Burkina Faso. Y a un risque à prendre, il le prend. La suite nous édifiera.
Car la réalité est que Gaspoz attend son contrat dans la main et aussi devra espérer que les administrations concernées comprennent une chose simple : son contrat fini le 31 juillet alors qu’aucun renouvellement n’est proposé.
Deuxième chose, le match retour se jouera le 9 août à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso. Alors, vous comprenez qu’on continue de marcher sur la tête!