Mais seulement voilà, la dissolution un peu cavalière sans que même le ministère des sports ne soit vraiment mis au parfum, alors qu’il est employé du sélectionneur paraît source de polémiques. Les contrats-types proposés aux sélectionneurs sont signés entre autres par le ministre des sports et le président de la fédération. Le sélectionneur est payé sur le budget national et émarge donc au Trésor public. Alors la question est simple : Comment alors expliquer le fait qu’un employé soit limogé par quelqu’un qui ne le paye pas, mais qui l’utilise tout juste.
Le débat est ouvert et cela peut marquer enfin le début de l’ère de la maturité de la fédération qui n’aura plus besoin de 100% de financement public pour gérer les Ecureuils. Les finances publiques en seraient allégées. Espérons.