En bons béninois, nous voyons tous le match Burundi-Bénin : gestion à la petite semaine, toujours dénoncée, toujours reconduite des affaires du football. Edmé Codjo est nommé, mais sans championnat, l’environnement reste bien loin d’être assaini.
Le Bénin a en réalité au minimum 5 matches à disputer en comptant le tournoi de l’Uemoa prévu fin octobre déjà…Au moment où la fédération est réduite à deux personnes d’un côté et à 15 membres en stand-by de l’autre, deux fédérations en tout, sans activité nationale et surtout un pays sans championnat mais avec des sélections nationales. Quel paradoxe !
Au lieu de lancer un championnat, par défaut, il faut l’avouer, l’Etat est resté comme paralysé par la crise. Le bluff des acteurs des deux camps ne devrait pourtant pas voiler la face au sujet de la légalité de la Ligue du football professionnel. Résultat, la désignation d’Edmé Codjo sans base juridique pour conduire la sélection nationale sonne comme une régression.
Absence de staff technique de bon niveau (une personne ne fait pas un staff), absence de compétitions (une sélection, ce sont les meilleurs du moment) et donc absence d’objectifs. Le hic est que la sélection nationale à mettre en place pour l’expédition de Bujumbura serait composée de joueurs évoluant (ou plutôt stagnant depuis 6 mois) au Bénin.
Aubay
Ce ministre, notre cher ministre, comme je l’i dis et je le répète c’est le plus nul que le Benin n’a jamais eu depuis les indépendances