Groupe C / Bénin- Nigeria samedi 16 janvier
Après le décrassage de mercredi après-midi, les Ecureuils se sont entraînés jeudi et le feront ce vendredi, pour préparer le match face au Nigeria. La copie rendue face au Mozambique est apparue bien loin du compte, en tout cas dans la majeure partie de la rencontre.
Samedi, les choses essentielles restent beaucoup de courage, du muscle et le culot indispensable pour bousculer les Super Eagles qui restent favoris de ce duel.
Aubay-Rolland ZOHOUN
Sessègnon, Omotoyossi, Ogunbiyi : Les mêmes pour sonner la révolte
Depuis le départ de Tchomogo, ils sont désormais quatre desquels on attend à chaque fois de dynamiter les défenses adverses. Si face au Mozambique, Ogunbiyi était diminué physiquement, les eux autres ont sur maintenir le navire à flots. Sessègnon ayant tiré le groupe vers le haut en seconde période, Omotoyossi ayant démontré qu’on peut compter sur ses accélérations. Face au Nigeria, il en faudra bien plus. Elever le niveau de jeu, et rester surtout lucides dans ce match qui va être éprouvant jusqu’au bout.
Le système défensif à l’épreuve
En défense, Chrysostome et Adénon restent des acquis sûrs, même s’il va falloir éviter les croisements dangereux qu’effectuent les deux souvent lors des couvertures, sous l’effet de la panique. Pour le match à venir, Dussuyer ayant remis une incertitude en ramenant Boco à droite pour Imorou à gauche. Le Nigeria, au plan gabarit étant plus solide que le Mozambique, Singbo et Reda vont-ils revenir ? Souhaitable. Il va falloir plus de muscles que Boco et Imorou en ont, en tout cas. C’est un duel d’hommes où des garçons comme Reda Jonson et Félicien Singbo seraient utiles.
La récupération : des choix et des sacrifices
Miel Obi sera le plus gros souci du secteur médian béninois, avec en soutien Etuhu, technique et disponible. Ahouéya et Seidah Tchomogo auront besoin de soutien physique et de lucidité tactique pour s’en sortir. La piste de Sessègnon ramené plus bas est à explorer tout comme celle d’un récupérateur supplémentaire pour sacrifier Poté ou Ogunbiyi.
C’est le match du courage et du culot. Dussuyer et son groupe devront en avoir si l’ambition reste de passer le premier tour.
Le nigeria a de la qualité au milieu, mais le nigeria joue lent et très lent pour suprendre une equipe tactiquement disciplinée.Mais le probleme de benin est 1, avons nous les joueurs dans l’entre jeu pour jouer vite et bien, je ne pense pas 2, le seletionneur joue trop prudent, donc pas courageux. Et dans ces conditions, la raison voudrait qu’on n’attende pas un miracle des ECU.
salut aubay
Moi je vois plutôt Boco plus solide et plus technique que Singbo qui a été l’ombre de lui même lors du math précédent. N’oublions pas que Boco est le joueur le plus polyvalent de l’équipe. Donc Réda à gauche et Boco à droite. Et puis quand Boco était passé à droite avec l’entrée de Imorou on a eu moins de danger venant des deux côtés. En tout cas ils se sont bien comportés. C’est vrai que face au Nigéria l’impact physique sera au rendez mais Boco peut tenir car il a le bagage technique et l’expérience. Ce n’est qu’un point de vue.
Singbo n’a pas donné grande satisfaction face au Mozambique, le danger est très souvent venu de son côté. Dussuyer devra très vite penser à le faire sortir s’il ne tient pas face au Nigéria.
Mickael poté n’a pas du tt animé son flanc droit le match passé,surement un manque de compétition,rappelons qu’il est de retour d’un mois de blessure, Dussuyer aurait pu à mon avis le faire sortir dans les 20 dernières minutes afin de permettre à un garçon comme Angan ou Seka d’apporter quelque choz à cette équipe des écureuils. Face au Nigéria nous avons besoins de victoire donc il nous faudra bcp de luciditer,tant de la part des joueurs que du coach,afin de pouvoir opposer une belle riposte au voisin Nigérian,qui nous sous estime déjà.Allez les écureuils!!!!!!!